La Robe Maxi

Malgré son volume maxi, cette robe - on est bien d'accord - est faite pour être portée l'été. Qui dit été, dit températures qui grimpent. Qui dit températures qui grimpent, dit besoin de légèreté. De frais. De respirer. Tout simplement.

Son mélange de soie et viscose végétales lui confère justement toutes ces propriétés. La soie végétale ? De la douceur et une texture soyeuse. La viscose végétale ? De la fluidité et du drapé. Les deux ensemble ? 120m/g2 de légèreté.

On a choisi des bretelles fines, toutes en délicatesse. Ça équilibre la coupe maxi de la robe, ça permet de laisser l'air circuler sur le haut du corps et d'accentuer la ligne des épaules et les clavicules.

Elles sont fines, mais pas fragiles : elles sont suffisamment renforcées pour ne jamais vous claquer entre les doigts.

Gros avantage : elles sont réglables hyper facilement, et s'adaptent donc à un maximum de morphologies de poitrines et d'épaules.

Pour que la matière de cette robe soit agréable, on voulait à la fois de la douceur et de la fluidité. Pour la douceur, on avait pensé à la soie. Mais la production de soie est énergivore et pas toujours très responsable. Pour la fluidité, on avait pensé à la viscose. Mais la production de viscose pollue énormément.

On a du coup trouvé deux alternatives : de la soie et de la viscose végétales.

La soie végétale, s'appelle le Lyocel, et notre robe en est composée à 50%. C'est un véritable câlin pour la peau, méga douce et soyeuse : on aurait presque envie de dormir dedans.

La viscose végétale elle, c'est l'Écovero, et ça représente la moitié restante de la composition de notre robe. C'est lui qui donne ce drapé incroyable que vous devinez en image. À l'aspect doux et soyeux du Lyocel, L’Écovero améliore la fluidité et la légèreté du Chemisier pour qu'il suive chacun de vos mouvements.

Les deux sont fabriquées à partir de pulpe de bois provenant de forêts éco-gérées, et demandent moitié moins de consommation d'énergie que les matières classiques.