La Parka d'Hiver

Cette Parka d’Hiver, on vous en propose deux déclinaisons. La première, elle est en laine douce et chaude. Et pour les amoureux de cette matière sur-performante, on vous en a mis 2 kilos. Enfin, 1,91 kg pour être précis, mais ça vous donne une idée. L’étoffe est dense, lourde, bien compacte et naturellement déperlante, ce qui vous procurera un étrange sentiment d’invulnérabilité (mais ce n’est pas une raison pour faire des roues arrières sans casque en trottinette). Bref, avec elle, on peut vous assurer que les frissons et les dents qui claquent seront vite un lointain souvenir.

Les deux en ont dans le ventre, mais pas de la même façon. La version laine étant déjà chaude bouillante, on s’est contentés d’une doublure fine, en coton sur le corps et en viscose dans les manches. C’est joli, ça fait propre et ça facilitera largement l’enfilage quand vous la passerez sur un gros Pull. Dans sa déclinaison moleskine, on est allés un peu plus loin pour vous assurer des performances thermiques à la hauteur, même au plus froid de l’hiver. Comme vous le verrez, on vous y a mis une doublure amovible aussi cool que pratique. Elle est en ripstop (une matière indéchirable inventée pour l’armée américaine dans les années 40) et elle est garnie d’une ouate de polyester recyclé bien dense. S’il fait très froid, vous ne serez même pas au courant, et si les températures remontent, vous n’aurez qu’à dézipper la doublure pour la laisser au vestiaire. Pratique.

Deux poches plaquées en bas, deux poches sur la poitrine et une poche secrète à l’intérieur : avec cette Parka, vous allez pouvoir transporter tout votre barda. En plus de structurer sa silhouette et d’offrir de beaux refuges à vos mimines, ça vous laisse de sacrés volumes pour emporter tout ce que vous voudrez. Portable, clés, larfeuille, tickets de caisse, prospectus récupéré à la sortie du métro parce que vous n’avez pas osé dire non au type dans son imper fluo, vous pourrez tout y stocker sans problème.

Pour le modèle en laine, il n’y a pas 36 solutions : il faut l’emmener au pressing à la fin de la saison avant de le stocker pour le printemps et l’été. Concernant la version coton, vous pouvez la passer en machine à 30°C (en enlevant la doublure amovible au préalable). Sans essorage, c’est mieux. Pour le séchage, ça se passe à l’air libre sur un cintre à épaules larges, de préférence à l’abri du soleil. Simple comme bonjour.