Minute nostalgie.
Quand la basket quitte les terrains de sport pour devenir un phénomène culturel, Alain Chamfort et Michel Berger sont au sommet des charts.
Les TGV sont oranges, Tom Selleck joue Magnum sur Antenne 2, il y a des cabines téléphoniques dans la rue et des Peugeot 205 sur la route. Coluche règne sur l’humour, Platini sur le football, JPG sur la mode et Dirty Dancing sur le box office.
On joue au flipper, on boit du Tang, on balade son walkman, on découvre gentiment le Minitel et on classe soigneusement ses photos dans des albums. Clic clac merci Kodak.
Bref, les années 80 battent leur plein, et la basket devient la pompe officielle de cette décennie en forme de paradis perdu.
Les Baskets Triple A, c’est l’hommage d’Asphalte à cet âge d’or, et l’ambition de remettre la qualité au centre du jeu.
Pour vous parler de cette paire extraordinaire, on a réuni un binôme tout aussi prestigieux : notre Chef de Produit et notre co-fondateur. La parole est à eux.
Retour vers le futur
Dans les années 80, les Reebok Club C, les Nike Jordan et les Adidas Continental sont aux pieds de toute la jeunesse. Les parents gueulent, les grands-parents aussi et les cordonniers comprennent que la fête est finie.
40 ans plus tard, la tendance s’est confirmée mais la donne a beaucoup changé : le marché a perdu les pédales et la qualité a subi le même sort que les cassettes VHS.
Aujourd’hui, il y a d’un côté les baskets bof qui coûtent un bras, et de l’autre les baskets “de luxe” qui en coûtent deux.
Dans ces cas-là, vous savez ce qu’on fait chez Asphalte : on prend la précommande dans la main gauche et la co-création dans la main droite, puis on imagine ensemble la pièce de vos rêves.
La philosophie de nos Baskets Triple A
Qu’on se le dise, on n’a pas développé cette paire pour les fétichistes des sneakers. Elles sont faites pour fouler le pavé et battre la campagne, mais certainement pas pour servir de trophée sur une étagère.
C’est peut-être un peu boomer en 2024, mais on a imaginé des pompes portables avant d’être instagrammables. Confort, propreté, durabilité et accessibilité, voilà les 4 points qu’on avait dans le cahier des charges.
Un confort incomparable
Enfiler des chaussures pour la première fois, faire 5 bornes avec, s’y sentir comme dans des chaussons et les retirer sans le moindre embryon d’ampoule : voilà à peu près la promesse qu’elles vous font.
Et on ne dit pas ça au pif.
Il nous a fallu 8 prototypes différents mais on a fini par toucher du doigt les proportions idéales pour un confort optimal. En plus des experts de notre équipe Produit, on s’est offerts les services de Germain, un consultant spécialisé dans le développement des baskets. Pour que vous ne vous lassiez pas en 2 semaines, on a travaillé un dessin qui a du caractère, mais qui reste assez universel. Remarquable, dans le bon sens du terme.
En guise de test, plusieurs membres de l’équipe portent quotidiennement les derniers protos et les retours sont unanimes : ils n’ont pas vu plus confort depuis les charentaises de leurs grands-parents.
Comment on y est arrivés ? Voilà la recette miracle :
D’abord, on a choisi des cuirs de vachette de première qualité. Réputés pour leur souplesse et leur robustesse, ils sont traités par des tanneries italiennes de renom : Poletto pour les cuirs lisses, Mastrotto pour les cuirs suédés. Vous chausserez l’un et/ou l’autre selon le modèle de Triple A que vous choisissez. Contrairement à certains cuirs, vous vous y sentirez comme chez vous dès le premier port. Voilà une paire qui sait recevoir.
Ensuite, on a tablé sur une semelle d’usure bien épaisse. Pour rappel, c’est celle qui est en contact direct avec le sol, d’où l’importance de mettre le paquet sur l’empâtement. Elle est en élastomère thermoplastique, ce qui promet un amorti aussi efficace que celui de Roger Federer. Et pour couronner le tout, elles sont fabriquées en Union Européenne du côté du Portugal. Avec ça, vous être paré pour enfiler les kilomètres comme des perles.
Enfin, on vous a prévu un intérieur tout confort. On a tapissé les Baskets d’une doublure de mousse et de mesh dont vous nous direz des nouvelles. Si vous n’avez jamais entendu parler de mesh, il s’agit d’un tricot-filet (parfois appelé ”résille”) qui présente des mailles assez larges. Très respirant, il est collé sur une mousse rembourrée pour un chaussant accueillant et douillet. Vous trouverez le même combo sur la semelle intérieure amovible, histoire d’y être à l’aise jusqu’au bout des orteils.
Au niveau des finitions, vous avez sûrement remarqué les petites perforations visibles sur le coup de pied. Elles favorisent l’aération et la respirabilité, sans laisser entrer la flotte en cas d’averse.
Durabilité maximale
Vous en avez marre des baskets dont la semelle démissionne au 20ème kilomètre, et vous avez bien raison. Dans la plupart des cas, elles sont collées au corps de la chaussure (ce qu’on appelle “la tige”). Avantage pour les fabricants : c’est très facile et très économique. Inconvénient pour vous : ça ne fait pas long feu. Entre les variations de température, l’humidité, les tensions et les sprints pour choper le métro, ce genre de montage se décolle rapidos.
Sur les Baskets Triple A, c’est une autre affaire. On a demandé à Rilix d’assurer un cousu “Strobel”. Le nom ressemble à un dessert alsacien mais dans la vraie vie, il s’agit d’une technique qui consiste à coller et coudre ensemble le corps de la chaussure, la première de montage et la semelle d’usure. C’est un peu l’équivalent du Goodyear sur les souliers de ville, et c’est surtout une garantie majeure d’endurance.
Clean de chez clean
Choix des matériaux, approvisionnement, traçabilité : vous savez qu’on ne plaisante pas avec la responsabilité. Dans une industrie aussi craignos que la nôtre, c’est une question d’honneur, et on a bossé les Baskets Triple A avec le même sérieux que le reste de notre vestiaire.
Les cuirs viennent des Maisons italiennes Mastrotto et Poletto, les semelles sont fabriquées au Portugal, les Baskets sont également montées là-bas par les artisans de l’usine Rilix, bref, vous allez mettre les pieds dans une paire de chaussures 100% UE. De nos jours, ça ne court pas les rues.
Un prix introuvable ailleurs
Du cuir de vachette italien, des semelles infatigables, un cousu Strobel increvable, un montage assuré au Portugal : normalement, c’est le genre de chose que vous ne voyez jamais. Ou alors bien au-delà des 200€.
Grâce à notre modèle de précommande, on peut vous proposer les Baskets Triple A à 119€.
Vous pouvez chercher, ça n’existe nulle part ailleurs.
Rendez-vous le 5 novembre
Les Baskets Triple A mettent pied à terre le 5 novembre prochain, et elles risquent de faire des jalouses du côté de votre tiroir à chaussures.
Le dévoilement de ces Baskets marque l’aboutissement de 24 mois de boulot, 2 années au cours desquelles on vous a beaucoup sollicités. Entièrement co-créée avec vous, cette paire est une véritable fierté, et on espère qu’elles vous plairont autant qu’à nous.
Pour être prévenu de leur lancement en précommande, vous pouvez d’ailleurs vous inscrire à l’alerte ci-dessous.
La semaine prochaine, on reviendra vers vous pour vous dévoiler le dernier secret de ces chaussures pas comme les autres, et on espère que vous serez au rendez-vous.
D’ici là, portez-vous bien,
L’équipe ASPHALTE